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inscription recherche pour : articles récents lundi 18 novembre aidez moi à n’être qu’amouur dimanche 16 novembre félicitations, vous êtes boulimique samedi 16 novembre vendredi 15 novembre le débuut bienvenu sur mon jiti (journal intime… très intime) :-) commentaires récents archives novembre 2013 catégories non classé méta inscription connexion flux rss des articles rss des commentaires lundi 18 novembre aidez moi à n’être qu’amouur posté le mardi 19 novembre 2013 lundi 18 novembre hier soir j’ai pris mon stylo, bien tard, et j’ai commencé écrire ma journée. je ne sais comment est arrivée l’envie d’expliquer à mon cahier qu’aujourd’hui, j’avais pas été qu’amour. dans mes nouvelles méditations du matin, je demande, dans la mesure ou une ps pourrait me l’accorder, on l’appellera fi (pas financial industrie mais force intérieure) à être amour pour les autres, c’est à dire tolérante, à les traiter, oui, comme je voudrais qu’on me traite moi. je vais essayer demain de mettre ce principe en pratique, et voir si cela change quelque chose sur ma vision globale des gens, qui est, en ce moment, particulièrement sombre. je me suis en effet rendue compte, une fois faite la liste des personnes que je n’avais pas respectée ou dont je m’étais moquée, que la journée, de a à z s’était déroulée par ma faute sous le signe de l’irrespect de l’autre, voir même de « l’enfoncement » de l’autre. j’ai dormi pendant un cours, je n’ai pas prêté attention à un autre, je me suis énervée contre un chargé de td que je ne trouvais pas assez pédagogue, j’ai critiqué dans le dos ou ouvertement, j’ai ri à outrance d’une amie et d’une fille que je ne connais pas. bref, je ne suis pas pour rien dans une possible mauvaise ambiance sous-jacente. mais accepter l’autre, tel quel, avec ses défauts parfois énormes, c’est dur. c’est dur, surtout quand je me rend compte que les défauts que j’exerque chez les autres sont systématiquement les miens propres. je sais que je ne suis pas pédagogue, et ça me soul, surtout quand il s’agit de préparer un exposé. je trouve impoli de ne pas suivre un cours si on y est venu. j’aime pas les gens qui se la pètent ou qui sont mous. bref on y reviens, je ne m’aime pas, et du coup, dur d’accepter d’aimer chez l’autre ce que je déteste en moi. peut être qu’accepté ces défauts chez les autres m’aidera à m’accepter. mais voila le dilemme est compliqué: accepter, c’est ne plus avoir envie de changer les choses, si je ne me trompe. haaa encore un soucis. je vais quand même mettre en pratique, l’amour de l’autre, surtout malgré ses défauts (qui sont les mêmes que ceux que je me connais, merdas ! ) et on verra si ça me fait changer ou au contraire les garder. en tout cas j’imagine que m’auto regarder avec un peu plus d’amour, grâce au fait d’accepter que les autres aient mes défauts, et donc; de reconnaitre que ces défauts sont humains, ne peut que m’aider. non? si? l’expérience commence, maintenant ! aujourd’hui j’ai été abstinente malgré plusieurs passages, classés catégorie « passages dangereux » à proximité de la cuisine. je m’oblige désormais à mettre deux euros dans un pot, chaque fois que mes petits pieds s’égarent à l’intérieur de la cuisine. donc je peux y aller, mais au risque et périls de mon porte monnaie. ce qui, je vous le dit, m’a très vite calmé. avant hier j’ai du mettre six euros dans ce pot, hier et aujourd’hui je n’envisageais même pas de rentrer dans la cuisine. je suis radine sur les bords, n’est il pas. autant que ça serve un dessein précis . @ 6 h 47 min enregistré dans non classé pas de commentaire -- dimanche 16 novembre félicitations, vous êtes boulimique posté le lundi 18 novembre 2013 dimanche 17 novembre <<nous les supers héros>> oui aujourd’hui je pêche par orgueil. aujourd’hui j’ai envie qu’on me dise « félicitations!! ». félicitations pour quoi ? hé bien c’est très simple : pour réussir à vivre à peu près normalement malgré ma boulimie, alors que d’autres personnes, qui n’ont même pas ce problème, s’en sorte moins bien. je suis trop forte !! je veux qu’on me le dise à la fin !! je suis mieux, mieux que cat-woman! a défaut d’exploser un ou deux méchants par ci par là une fois tous les 3 mois, moi, il faut que chaque jour que je me batte pour : - réussir ses études et - ne pas manger compulsivement et - essayer d’appliquer les nouveaux principes aa comme le lâché prise, donc rester consciente à chaque seconde de la précarité de ma situation, et - pour être heureuse et - faire comme si tout allait bien quand je perd la bataille ( alors que cat-woman bah c’est cat-woman, pour lui effaroucher le brushing il faut mettre le paquet de coup de poing et de pieds , alors que moi un paquet de gâteaux suffit à me rendre bouffie comme une dinde et abimée comme une droguée). ça fait beaucoup et ça se recoupe, mais justement, c’est pour bien montrée à quel point je suis cernee et pour bien montrer du coup l’éteeeenduuuue de mon courage et de ma vaillance/gloire/merveilleuseté ect… donc ni une ni deux, et pour étouffer cette colère sourde qui gronde en moi et qui me fait me demander pourquoi, pourquoi personne ne se rend compte de ce que j’endure, je vais voire ma mère. car les mères, pour un peu qu’elles soient présentes, ont ce privilège d’être un peu nos coffres forts… quand on veut y mettre un truc on l’y met, et quand on a besoin de thunes on lui en prends. non bien sur, elles sont nos confidentes et également nos souffres douleurs. personne ne le niera. si? bref. je suis donc allé la voir pour lui expliquer que tout le monde était méchant avec moi. pas directement méchant non. je ne me suis pas faite insultée. mais presque, pressssque car que mon combat soit ignoré, que mes souffrances doivent être passées sous silence, cela, je le vivais (et je le vis toujours, merde) comme la pire des insultes. comme un crachat sur mon doux visage pulpeux. un crachat ? oui, un crachat, un » tu en chies plus que les autres, et ben on s’en fou » qui équivaut à un crachat. oui, je maintiens. j’aurais voulu que ceux qui pleurent pour des problèmes moins grave que le moins aillent tous se faire foutre. alors j’ai dis tout ça à ma mère, en criant, en levant haut les bras en signe de révolte, en gesticulant pour mimer mon combat contre la boulimie. tout cela pour que survienne l’éternel << mais pourquoi tu t’énerves, j’ai rien dit moi.>> non maman, tu m’as rien dit, mais tu m’as pas félicité non plus. alors vas-y j’attends que tu me dise bravo. bravo pourquoi? bah pour tout ça. pour réussir à vivre au milieu de gens qui comprennent pas et qui ne comprendront jamais ce que j’endure. mais attention, ça veut pas dire que je leur souhaite de comprendre un jour, parce que ça voudrait dire qu’ils sont devenus boulimiques, ou alcooliques. ce que je veux du coup? je sais plus. parce que je viens de me rendre compte que je voudrais qu’ils comprennent tous, mais que je ne leur souhaite pas. donc c’est un non sens. mais pourquoi je suis venue te voir. j’aurais du rester avec ma haine et la bouffe, a cracher sur les gens qui ont pas mon problème et qui se rendent pas compte que rien que ça devrait leur suffire pour être heureux. est ce que je me suis déjà mise à la place de quelqu’un qui a une maladie grave ? non. mais de quoi on parle là, je te parle des gens de mon école, des gens qui ont pas de maladie grave. est ce que je peux en être sur, qu’ils ont rien? bah non. bon je me casse, tu démolis mes arguments maman. je viendrais plus jusqu’à ce que je reviennes. c’est un non-sens à la fin, j’ai même plus le droit de m’enerver?! @ 6 h 27 min enregistré dans non classé pas de commentaire -- samedi 16 novembre posté le samedi 16 novembre 2013 samedi 16 novembre <<ha mais ça pue !>> ho la nuit de folie !! mais pas comme on pourrait l’entendre. car j’ai faillie mourir étouffée (si si je vous jure). a une heure du matin je me suis réveillée…. l’esprit embué et…à moitié asphyxiée. par quoi vous demandez vous…et bien par moi même. de toute évidenc